Dynafor effectue ses recherches sur différents sites d’étude en fonction des besoins des projets et des partenariats. Parmi les nombreux sites en France, deux sont privilégiés : les Pyrénées et les Vallées et Coteaux de Gascogne. Dynafor intervient également à l’échelle européenne et internationale sur différents continents.
Dynafor effectue ses recherches sur différents sites d’étude en fonction des besoins des projets et des partenariats. Parmi les nombreux sites en France, deux sont privilégiés : les Pyrénées et les Vallées et Coteaux de Gascogne. Dynafor intervient également à l’échelle européenne et internationale sur différents continents.
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Dans le cadre de la science ouverte, Dynafor s'est fortement engagée dans une démarche d’amélioration de la gestion et du partage de ses données.
La gestion des données de Dynafor repose sur le respect des standards internationaux et des principes FAIR (Findable Accessible Interoperable Reusable).
Aussi début février 2024, l'UMR DYNAFOR a reçu ses 3 premiers open badges d’engagement dans l’open data !
Dans le cadre de l’accompagnement des unités du département ACT Inrae vers les bonnes pratiques de gestion, de mise en qualité et d’ouverture de leurs données de recherche, DYNAFOR s’est vu remettre ses 3 premiers open badges collectifs.,Ces badges certifient que des compétences générales et ciblées sont maitrisées par le collectif de l’unité, attestant de la progression de l’unité et valorisant son investissement dans l’open data.
Pour tout savoir sur ces 3 open-badges c'est ICI.
Dynafor dispose désormais de compétences pointues et reconnues dans ce domaine, générant de nombreuses sollicitations externes, notamment au sein de réseaux spécialisés sur la gestion des données et des systèmes d'informations, par ex. Réseau Bases De Données du CNRS (RBDD), Séries Interopérables et Systèmes de Traitements (SIST), groupe Bancarisons Ensemble les Données de la ZA PYGAR.
Les travaux menés par Dynafor dans ce domaine ont fait l'objet de plusieurs publications, articles et présentations dans des colloques nationaux (ex. journées RBDD, Storage Day, séminaires SIST).
Dynafor s’est dotée d’une infrastructure de données spatiales modulaire, qui inclue un catalogue de métadonnées (Geonetwork), un moteur cartographique (Geoserver), un serveur de données matricielles (Thredds), un serveur RStudio, un workflow de gestion des métadonnées (Geoflow), un outil de publication de données écologiques (Integrated Publishing Toolkit du Global Biodiversity Information Facility - GBIF) et le dataverse de l’unité sur le portail Data INRA.
Dynafor développe des applications embarquées pour améliorer la phase de collecte des données sur le terrain, augmenter la qualité de ces dernières (par le contrôle de la saisie) et en faciliter l'intégration dans le système d'information (ex. applications flore et dendromicrohabitats).
Dynafor s’engage dans l’utilisation de documents normalisés (plan de gestion de données, catalogues de métadonnées). Elle collabore au développement d'un outil de gestion de métadonnées codé en langage R (Geoflow, projet soutenu par le R Consortium) afin de faciliter la production de métadonnées normalisées (ISO 19115, Ecological Metadata Language) grâce à une interface très simplifiée, permettant une édition collaborative des métadonnées au sein d'une UMR.
Enfin, Dynafor mène une démarche d’amélioration de la traçabilité des données qui s’est traduite par la publication de jeux de données sur des entrepôts spécialisés (notamment le GBIF, le Dataverse INRA).
Les jeux de données produits par Dynafor sont maintenant plus visibles (ex. BDD dendromicrohabitat Integrate+ téléchargée 3951 fois et citée 11 fois en 1 an), mieux valorisés, tout en contribuant à une science reproductible.
Illustration de la diversité des activités de collecte de données de terrain conduites à Dynafor
(de gauche à droite : utilisation d’un GPS de précision pour positionner les relevés au sein des parcelles, installation de pots pièges pour échantillonner les communautés de prédateurs des ravageurs, préparation des fraisiers pour estimer le potentiel de pollinisation dans les parcelles, mesures de dendrométrie pour décrire les peuplements, pose d’un enregistreur pour caractériser les paysages sonores et mesurer la diversité acoustique).
